Résumé

La Question du Beurre propose aux spectateurs de tous poils une très simple et très immédiate « visite du théâtre », visite loufoque et poétique. Elle s’adresse aussi bien à des spectateurs non avertis de la chose théâtrale qu’à de vieux abonnés. Il s’agit de visiter le théâtre de A à Z. De la scène aux coulisses, des bureaux aux lavabos, du poulailler à la fosse d’orchestre en passant par les loges et les dessous… pour y trouver des tas d’anecdotes, des explications aux traditions et aux superstitions. Une manière (iconoclaste, irrévérencieuse et déjantée) de déshabiller totalement la grande famille du théâtre."

du hall d'accueil au poulailler en passant par les loges et les toilettes, la fosse d'orchestre, le théâtre comme vous ne l'avez jamais vu.

Note d'intention

Un petit teaser pour comprendre l'ambiance de cette visite loufoque et poétique qui s'adapte à tous les lieux, qui ne demande aucune technique, qui se joue matin, après-midi ou soir, dans tous les lieux culturels, qui ravit les publics de 14 à 107 ans .

Teaser du spectacle : cliquez ici

code : sur demande

Distribution

Alexandre Aflalo
Charlotte Blanchard
Serge Gaborieau
Participation exceptionnelle de Valéran Sabourin

« Les Dessous de la Vieille Dame » : pourquoi ?

Lorsque les régisseurs d’un théâtre font tomber tous les pendrillons et rideaux de velours de sorte que la cage de scène est entièrement à vue et que l’on peut voir tout le harnachement technique (poulies, éclairage, guindes diverses…), on dit traditionnellement qu’ils « déshabillent la vieille dame ».

« Les dessous » du théâtre, c’est l’espace qui existe sous le plateau et qui permettait notamment de faire disparaître des éléments de décors ou des comédiens, par des trappes. Mes « Les dessous » d’une affaire, c’est aussi ce que l’on en cache, soit pour en garder la magie, soit par secret…

« Les Dessous de la Vieille Dame » lèvent les secrets et vous permettront d’en apprendre encore d’autres sur le vocabulaire du théâtre et sa longue et vieille tradition. Avec des explications sur les origines de ses expressions imagées ou conventionnelles (par exemple, d’où vient que l’on dise « cour » et « jardin » et non « gauche » et « droite » ou « babord » et « tribord » sur un plateau de théâtre…).